Defendre les droits des animaux

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Droits des animaux
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Droits des animaux. La coexistence avec les animaux a des origines très anciennes. Vénérés comme des divinités par les civilisations les plus anciennes ou domestiqués pour des besoins pratiques, les animaux ont toujours été aux côtés de l’homme.

Avec l’ère moderne, la valeur des animaux a également été reconnue par page d’accueil la loi. Déjà en 1641, le Tribunal Général du Massachussettes sanctionnait, avec la première norme (partielle) pour la protection des animaux, que : « aucun homme ne peut exercer aucune tyrannie ou cruauté envers les animaux gardés par l’homme pour son propre usage ». Droits des animaux.

La Déclaration universelle des droits des animaux

Au XXe siècle, la question de la protection de la vie animale a soulevé un large débat au sein de la société, impliquant scientifiques, humanistes, juristes, sociologues et politiques du monde entier.

Cette vive confrontation éthico-philosophique aboutit le 15 octobre 1978 au siège de l’UNESCO à Paris à la proclamation de la Déclaration universelle des droits de l’animal, première disposition internationale qui éduque au respect de toute forme de vie.

La Déclaration universelle des droits des animaux

Depuis, les réglementations sur le bien-être animal se sont multipliées dans le monde occidental. Les années 1970 ont notamment vu l’Europe s’engager dans un voyage culturel et législatif en ce sens.

Bien-être animal : les cinq libertés

Le bien-être animal peut être défini comme « l’état de santé physique et mentale complète qui permet à l’animal de vivre en harmonie avec son environnement » (définition OMS/Hughes 1976). Pour garantir cela, il est nécessaire qu’au moins les besoins essentiels soient assurés, identifiés dans les cinq libertés contenues dans le rapport Brambell de 1965.

  • être à l’abri de la faim, de la soif et de la malnutrition grâce à un accès facile à l’eau douce et à une alimentation saine
  • la liberté d’avoir un environnement physique adéquat, y compris un abri et une aire de repos confortable
  • l’absence de maladie, de blessure et de traumatisme, grâce à la prévention ou à un diagnostic rapide et à une thérapie rapide
  • liberté d’afficher des caractéristiques comportementales spécifiques à l’espèce, en fournissant un espace suffisant, des locaux appropriés et la compagnie d’autres individus de la même espèce
  • à l’abri de la peur, en assurant des conditions qui évitent la souffrance mentale.

Le Conseil de l’Europe a également porté son attention sur la protection des animaux en signant de nombreuses Conventions pour leur protection (animaux de compagnie, transport, élevage, abattage, expérimentation, etc.).

Droits des animaux

Plus de 40 ans se sont écoulés depuis cette date et bien qu’il reste encore un long chemin à parcourir pour parvenir au respect total des 14 points éthiques envisagés par la Déclaration, cette question prend de plus en plus de place dans le cœur des gens.

La pandémie de coronavirus, qui touche la planète entière depuis janvier 2020, a montré une fois de plus que nous devons reconstruire notre relation avec les espèces qui nous entourent.

Heureusement, chaque jour, le nombre de personnes qui s’inquiètent du traitement réservé aux animaux avec lesquels elles entrent en contact augmente, de celles qui décident d’adopter un comportement plus compatissant à table, adoptant une alimentation végétale sans souffrance, à celles qui prévoient des vacances dans le respect de la faune locale ; de ceux qui décident d’utiliser des produits sans cruauté à ceux qui adoptent dans des chenils et des refuges.

Droits des animaux

Les animaux ne doivent pas être humanisés, mais traités avec le respect et l’attention que leur nature exige, surtout dans un monde où tout est lié, où le local devient global.

Car lorsque la violence touche le monde animal, l’humain est aussi touché. Que sont les droits des animaux ? Par droits des animaux, nous entendons l’ensemble des principes et des règles concernant la relation entre les humains et les animaux.

Les droits des animaux reposent sur

Le principe que les animaux sont des êtres sensibles qui ont le droit d’être traités avec respect et dignité.

Parmi les principaux droits des animaux reconnus par les lois, il y a l’interdiction de la maltraitance des animaux, leur protection, l’interdiction de l’utilisation de ceux-ci dans les combats, la protection des animaux de ferme et celle des animaux sauvages. Comment les droits des animaux sont-ils protégés ? Les droits des animaux sont protégés par la loi.

Dans notre pays, plusieurs lois régissent la protection des animaux. Parmi celles-ci, la loi-cadre sur la protection des animaux qui prévoit l’interdiction de la maltraitance et la protection des animaux de compagnie.

Les droits des animaux reposent sur

Comment les animaux domestiques sont-ils protégés ? Les animaux domestiques sont particulièrement protégés par les lois italiennes. La loi prévoit notamment que les animaux de compagnie doivent être traités avec respect et dignité. Parmi les principales règles relatives à la protection des animaux de compagnie figurent l’interdiction des mauvais traitements et la protection des animaux de compagnie tels que les chiens et les chats.

Qu’est-ce que vous défendez pour les droits des animaux ? Par droits des animaux, nous entendons l’ensemble des principes et des règles concernant la relation entre l’homme et les animaux. Les droits des animaux sont basés sur le principe que les animaux sont des êtres sensibles qui ressentent la douleur et peuvent être soumis à la violence.

Comment punir la maltraitance des animaux

L’abus d’animaux de compagnie est une infraction pénale passible d’une peine d’emprisonnement.

La loi prévoit également des sanctions administratives pour ceux qui maltraitent les animaux, telles que la révocation du permis de conduire ou la l’exclusion de l’agriculture.

Comment fonctionne la protection pénale des animaux? La protection pénale des animaux prévoit une série d’infractions pénales pour la protection des animaux. Le code pénal prévoit le crime de maltraitance animale, puni d’emprisonnement. De plus, la convention européenne pour la protection des animaux interdit la torture, les expérimentations inhumaines et la mise à mort inutile d’animaux.